حِكَايَاتُ صَمْتِي
5 mai 2018Edito FIFAK 2019
1 août 2019Une des interprétations cruciales du phénomène : « le printemps des peuples 1968 » et qui a minutieusement affecté ma soif d’être dans l’axe du couple « Cogito/Vidéo », fut celle des astrologues.
L’interprétation susdite raconte que chaque fois que la planète Mars se déplace de son orbite d’une once en direction de la terre, les peuples se soulèvent contre les fabriques confuses de l’esclavagisme de tous les temps.
– Pourquoi?
Parce que la planète mars représente chez les astrologues le signe de l’intelligence universelle de l’humanité.
Les astrologues ont développé une réponse convenable à l’état des « rêveries du promeneur solitaire ».
Mon corps est toujours, est non pas accidentellement, impressionné par la rencontre avec les humains. Le FIFAK ressemble avec ma mémoire visuelle profonde à un globe situé entre deux pressions : Mars et Vénus : entre l’Intelligence, la Beauté et l’Amour.
Oui, à Kélibia et entre les bras tendres du FIFAK, je me sens, moi comme cinéaste amateur, entre les deux désires planétaires.
Ceci me ramène d’une manière très musicale à me rencontrer avec mon cher ami, comédien et acteur : Ahmed El Hafiène. Les moments implicites pendant la soirée la plus difficile du FIFAK.
Dans l’implicite de ma rencontre chaleureuse avec Ahmed El Hafiène, il y avait dans les dires et sourires engagés dans l’axe de l’amour dans nous : Ettore Scola, Laura Antonelli et Nino Manfredi.
Le matin, j’ai eu l’honneur d’avoir été au coeur d’une photo avec un maître cinéaste que je vais me permettre d’appeler « Le géomètre de la simplicité, enfant de l’Harmattan’’ : Moussa Touré.
Mohamed BEN TABIB | Bulletin du FIFAK | 17 – 08 – 2018